Retour sur la conférence co organsisée par l’initiative du Groupe environnement de Sciences po Alumni et de la commission transition écologique de Servir
Etienne Grass, Thomas Cottinet et Lou Welgryn ont dialogué sur les impacts environnementaux de l’IA, possibilité d’utilisation au service de l’environnement de l’autre.
Les impacts Impact sur les ressources (énergie, eau, métaux rares…) reste un impensé et un non mesuré, faute notamment de transparence, mais risque de prendre des proportions plus que considérables dans le futur avec des croissances exponentielles liées principalement à l’IA générative. A ces impacts liés directement à l’intelligence artificielle s’ajoute les impacts induits par ses effets sur le développement des productions et l’incitation à toujours plus consommer.
Venus d’horizons différents, avec des analyses souvent convergentes, les intervenants ont rappelé les grandes données, les projections de développement et d’impact, les gaspillages actuels et appelé à plus de transparence, de mesure des externalités, à plus de maitrise de ces dernières en esquissant plusieurs voies pour se faire et aussi à l’utilisation raisonnée de l’IA. Ont été proposés des voies visant à faire payer le carbone, gagner en efficacité sur les tehchnologies et l’utilisation des data centers. Toutefois ces gains peuvent être absorber par les effets rebonds et le développement des usages, c’est donc vers une utilisations raisonnée de l’IA qu’il faut aller.
Ont été présenté aussi des plusieurs cas d’usage de l’IA au service de l’environnement, cas s’appuyant en général sur une IA non générative, donc plus sobre,
Thomas Cottinet a souligné les avancées sur l’initiative française travaillée au niveau international de normalisation d’une IA frugale.

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